HtmlToText
notre monde à nous… remise en forme depuis quelques semaines, je multiplie les séances de natation entre midi et deux… ce midi, forte motivation, mes affaires dans le casier, et direction le bassin… choisir le couloir de nage en fonction de la densité de nageurs, je m’arrête sur celui-ci, 3 nageurs seulement, et c’est parti… a chaque demi-tour, petite pause pour reprendre mon souffle, avec le réflexe de regarder les nageurs autour de moi… tiens, cette femme, sous son bonnet, ressemble à k… petit sourire, légère augmentation des palpitations, bien qu’il s’agisse à coup sûr d’une pâle copie… et c’est reparti pour une longueur… trois longueurs plus tard, nouvelle pause et regard croisé avec cette personne… impression troublante, ce regard m’a semblé appuyé… mais là encore, la fatigue doit me jouer des tours ! fin de la séance, je sors en douceur du bassin, la cherchant du regard, en vain… direction la douche, je reprends mon souffle, mes esprits, en rigolant intérieurement de cette idée saugrenue qui a animé ma session d’aujourd’hui. de retour vers les casiers, je récupère mes affaires, trouve un vestiaire libre et y entre… avant de sentir une présence derrière moi, mon imagination ne m’a donc pas joué de tours, te voilà dans mon vestiaire, ta main ferme le loquet, et ton autre main me fait signe « chut », tes yeux brillants plongés dans les miens… tu me plaques contre la paroi, et m’embrasse avec fougue, pendant que ta main part déjà à la rencontre de mon sexe. pas d’effeuillage, nos peaux sont déjà collées l’une à l’autre… je ne saurai trouver les mots à cet instant, mais tant mieux, la discrétion dans une telle situation est plus qu’une obligation. un baiser dans mon cou, sur mon torse, mon ventre, puis te voilà accroupie devant mon sexe, déjà tendu par l’excitation. tu le prends en bouche sans attendre et avec envie, pendant que mes mains dans tes cheveux accompagnent tes mouvements… je suis au paradis, ou pas bien loin… après quelques instant sans doute longs, mais évidemment trop courts de mon point de vue, tu te relèves, range mon sexe dans le caleçon de bain, puis me glisse à l’oreille, « à jeudi midi… » publié dans : de f pour k | le 13 mars, 2018 | pas de commentaires » -- mercredi 7 il est 16h, je suis là depuis une dizaine de minutes, déambulant dans les allées, prenant le temps de me poser devant les stands intéressants, découvrir cet univers que je ne connais pas… par jeu, je n’ai pas cherché sur le plan de l’accueil où se trouvait son stand… 16h07, je l’aperçois au loin, de dos, et pense reconnaître ses cheveux, sa silhouette… elle se trouve devant son stand, c’est bien elle… accaparée par un visiteur, je la regarde un court instant, charmante tenue… mais continuons la visite du salon… 16h20, nouvel angle de vue à une quinzaine de mètres, elle peut cette fois me voir si elle lève les yeux en face d’elle… elle parle cette fois avec un collègue semble t-il, j’aime cette main qui vient repositionner une mèche de cheveux sur le côté… elle sourit, douce vision. un second collègue se joint à leur conversation, son regard croise le mien à cet instant puis revient vers eux, un sourire se dégage naturellement… quelques secondes plus tard, elle me regarde à nouveau, je lui adresse un signe de la tête, son sourire discret en retour me plaît… demi tour, un stand interactif a attiré mon attention à mon arrivée… 16h45, me revoilà à proximité du stand, mais je ne la vois pas. après quelques instants, toujours pas de signe de sa présence, elle est sans doute partie faire une petite pause… je m’approche devant le stand, son collègue se propose de me renseigner mais je décline poliment, feuilletant machinalement une brochure. une petite minute passe, la revoilà accompagnée de deux hommes, j’attends un court instant qu’elle me remarque… …et voilà, j’imagine que son souffle vient de s’accélérer fortement… le petit groupe est maintenant à quelques mètres de moi, je m’écarte avant son arrivée en saluant son collègue et m’approche du stand suivant… 17h05, un dernier détour dans son allée, un dernier regard sur sa tenue, ses courbes, ses cheveux, son sourire… elle ne me voit pas, je profite de l’instant présent… avant de quitter le salon… intéressant cet univers de la communication visuelle. 18h45, je suis chambre 418, j’ai profité de la fin du salon pour travailler un petit peu… mais bien difficile, elle est omniprésente dans mes pensées… elle s’est dévêtue ici.. a dormi dans ce lit… s’est éveillée en s’étirant comme un chat… puis s’est glissée sous la douche… grisant de sentir sa présence… je m’allonge sur le lit avec ces images, les yeux clos et le sourire aux lèvres… 18h55, la porte s’ouvre, je me redresse et la découvre dans l’entrebaillement… un timide « bonjour » en premières paroles échangées, je la vois poser son sac, retirer ses chaussures et venir me chevaucher, entourer mon visage de ses mains et venir me déposer un léger baiser… revoilà notre monde en ébullition… « je t’ai cherché toute la journée, tu apparaissais, tu disparais, tu as joué avec mes nerfs… » entre chaque parole, un baiser déposé… joué avec ses nerfs en effet, mais également joué avec son excitation apparemment… (…) 19h50, elle doit déjà me quitter pour aller rejoindre ses collègues, je la plaque une dernière fois sur le mur avant qu’elle ne quitte la chambre… 20h10, le serveur m’installe dans un coin en me remettant la carte, m’indiquant rapidement les plats du jour… jolie décoration bien que très chargée, et belle ambiance dans ce bar à bières. de ma table, j’ai le plaisir de découvrir mes voisins d’un soir… ce couple de jeunes se regardant avec des yeux doux… cet autre couple plus âgé, accompagné de deux adolescents, tous les quatre plongés dans leur smartphone… ces deux hommes chacun seuls à leur table, le profil type du commercial solitaire… je me dis à cet instant qu’ils doivent penser la même chose de moi d’ailleurs, cela me fait sourire. au fond de la salle, sa table est bruyante, les rires fusent, je la vois de profil, elle a sans doute dû me voir arriver, je ne la découvre qu’à cet instant… coup d’oeil furtif, elle m’a repéré… j’adore cette situation, je l’imagine toute emoustillée, l’effusion de la chambre encore en mémoire… elle a toujours autant de charme, j’ai envie de l’embrasser dans le cou… le serveur me sort de mon nuage… « ce sera entrée, plat et dessert du jour pour moi » … (…) f. publié dans : l'un puis l'autre... | le 1 septembre, 2016 | pas de commentaires » -- « chut »… l e temps est passé sans atténuer cette envie de rencontre, envie avouée et assumée au travers de nos échanges de mails … chose faite en cette fin 2013, ton dernier mail était lui épuré : une date, une heure, une adresse, un étage, puis un mot … « chut »… accompagné d’un mélange d’amusement, de curiosité et d’impatience, je me rends à l’adresse indiquée, rue discrète et calme, 14h comme convenu … la porte est entrouverte, je me faufile à l’intérieur et monte les 3 étages lentement, comme pour savourer marche après marche l’instant présent… là encore, la porte est entrouverte, je décide d’entrer sans frapper, respectant à la lettre la seule consigne de ton dernier mail… dans la douce lumière tamisée, je découvre une pièce éclairée à l’aide de quelques bougies disséminées… un canapé adossé au mur en face de moi, une petite table basse sur un épais tapis, sur laquelle deux verres remplis de bulles n’attendent que d’être savourés… après quelques secondes passées, une seule chose manque à ce tableau idyllique : toi. je parcoure le reste de la pièce du regard, et te découvre dans un coin, cachée lors de mon entrée par l’ouverture de la porte… toujours sans voix, je ne sais d’ailleurs pas si un son pourrait sortir de ma bouche à cet instant… tu es juste magnifique, assise sur ce large coussin, vêtue d’une petite robe légère… un ange venu d’ailleurs, les pieds nus, les yeux pétillants et un sourire doux et communicatif, sans doute ravie de l’effet de surprise sur mon visage… avant de te lever, je dist